La partie s'engage : les deux armées se font face. Je suis attaquant et, me concentrant sur les photos, j'oublie que je suis attaquant. Je dis à Salvador: "Vas-y joue !"... en oubliant le dé d'initiative. Salvador, peu contrariant, prend le premier tour... (on vérifiera par la suite en jouant les dés d'initiative et c'est effectivement Salvador qui aurait commencé... ouf, les apparences sont sauves !).
La phalange Lagide patiente stoïquement...
Donc Salvador décide de ne pas exposer sa "phalange" d'Ibères, la faisant juste légèrement pivoter en gardant son flanc gauche protégé par l'étang. Dans le même temps, il envoie sa cavalerie légère (un peu à l'étroit et donc en un gros bloc de 3 LH sur 2 de profondeur) traverser le champ, suivi de la colonne de 3 javeliniers.
Son plan tel que je le perçois : déborder mon aile gauche (il ne connait pas le contenu de mon embuscade) et éviter d'engager ses fantassins lourds contre mes phalanges et mes éléphants + thureophores.
C'est à mon tour de jouer. Je décide d'envoyer un LI javelot dans le champ pour ralentir la multitude de cavaliers légers et javeliniers qui s'avancent menaçant. En deux tours je réussis à le placer sur le flanc de la horde de LH dans le champ. Ce choix va complètement bouleverser la stratégie de Salvador. Ce LI va réussir à gagner 2 tours... le premier, lorsque l'Ibère réagira en envoyant son bloc de cavaliers léger, en détruisant un LH et en collant un point de cohésion à celui qui suivait. Et un second tour lorsqu'il les LH feront 1/4 de tour pour me charger à nouveau avec les 4 LH restants. Je choisirais alors la fuite pour sortir de table. Mais pourquoi donc Salvador n'a t-il pas pris le temps d'envoyer ses javeliniers pour finir le travail, laissant ainsi ses LH libres d'aller contrarier les mouvements de mon aile gauche ???
Pendant ce temps, mon centre droit progresse pour engager les tirailleurs Ibères. Mon objectif est de, grâce à mon surnombre, faire fuir les LI ennemis pour affaiblir dans un second temps l'infanterie lourde. Ensuite, il ne me restera qu'à être patient, attendant le mauvais jet de commandement qui obligera la ligne d'impétueux ibères à s'avancer et à découvrir son flanc gauche. Le général Ibère est brillant, mais il doit contrôler 10 unités et donc 2 groupes !
C'est effectivement sur ce flanc que je veux faire porter mon effort, pendant que mon aile gauche sera refusée. Ma phalange pivote donc de façon à ce que son flanc gauche, même si elle est bien protégé par la cavalerie lourde et l'embuscade, ne se retrouve pas en position délicate...
La suite bientôt...
Son plan tel que je le perçois : déborder mon aile gauche (il ne connait pas le contenu de mon embuscade) et éviter d'engager ses fantassins lourds contre mes phalanges et mes éléphants + thureophores.
C'est à mon tour de jouer. Je décide d'envoyer un LI javelot dans le champ pour ralentir la multitude de cavaliers légers et javeliniers qui s'avancent menaçant. En deux tours je réussis à le placer sur le flanc de la horde de LH dans le champ. Ce choix va complètement bouleverser la stratégie de Salvador. Ce LI va réussir à gagner 2 tours... le premier, lorsque l'Ibère réagira en envoyant son bloc de cavaliers léger, en détruisant un LH et en collant un point de cohésion à celui qui suivait. Et un second tour lorsqu'il les LH feront 1/4 de tour pour me charger à nouveau avec les 4 LH restants. Je choisirais alors la fuite pour sortir de table. Mais pourquoi donc Salvador n'a t-il pas pris le temps d'envoyer ses javeliniers pour finir le travail, laissant ainsi ses LH libres d'aller contrarier les mouvements de mon aile gauche ???
Pendant ce temps, mon centre droit progresse pour engager les tirailleurs Ibères. Mon objectif est de, grâce à mon surnombre, faire fuir les LI ennemis pour affaiblir dans un second temps l'infanterie lourde. Ensuite, il ne me restera qu'à être patient, attendant le mauvais jet de commandement qui obligera la ligne d'impétueux ibères à s'avancer et à découvrir son flanc gauche. Le général Ibère est brillant, mais il doit contrôler 10 unités et donc 2 groupes !
C'est effectivement sur ce flanc que je veux faire porter mon effort, pendant que mon aile gauche sera refusée. Ma phalange pivote donc de façon à ce que son flanc gauche, même si elle est bien protégé par la cavalerie lourde et l'embuscade, ne se retrouve pas en position délicate...
La suite bientôt...
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